Supposons qu'il existe deux formules, X et Y. Ces formules seront appelées équivalence si X ↔ Y est une tautologie. Si deux formules X ↔ Y sont une tautologie, alors nous pouvons également l'écrire sous la forme X ⇔ Y, et nous pouvons lire cette relation comme X est l'équivalence à Y.
Remarque : Il y a certains points que nous devons garder à l'esprit lors de l'équivalence linéaire de la formule, qui sont décrits comme suit :
- ⇔ est utilisé pour indiquer uniquement un symbole, mais il n'est pas conjonctif.
- La valeur de vérité de X et Y sera toujours égale si X ↔ Y est une tautologie.
- La relation d'équivalence contient deux propriétés, c'est-à-dire symétrique et transitive.
Méthode 1 : Méthode de la table de vérité :
Dans cette méthode, nous construirons les tables de vérité de n’importe quelle formule à deux affirmations, puis vérifierons si ces affirmations sont équivalentes.
Exemple 1: Dans cet exemple, nous devons prouver X ∨ Y ⇔ ¬(¬X ∧ ¬Y).
Solution: La table de vérité de X ∨ Y ⇔ ¬(¬X ∧ ¬Y) est décrite comme suit :
X | ET | X ∨ Oui | ¬X | ¬Et | ¬X ∧ ¬Y | ¬(¬X ∧ ¬Y) | X ∨ Oui ⇔ ¬(¬X ∧ ¬Y) |
---|---|---|---|---|---|---|---|
T | T | T | F | F | F | T | T |
T | F | T | F | T | F | T | T |
F | T | T | T | F | F | T | T |
F | F | F | T | T | T | F | T |
Comme on peut le voir que X ∨ Y et ¬(¬X ∧ ¬Y) est une tautologie. D'où X ∨ Y ⇔ ¬(¬X ∧ ¬Y).
Exemple 2 : Dans cet exemple, nous devons prouver (X → Y) ⇔ (¬X ∨ Y).
Solution: La table de vérité de (X → Y) ⇔ (¬X ∨ Y) est décrite comme suit :
X | ET | X → Oui | ¬X | ¬X ∨ Oui | (X → Oui) ⇔ (¬X ∨ Oui) |
---|---|---|---|---|---|
T | T | T | F | T | T |
T | F | F | F | F | T |
F | T | T | T | T | T |
F | F | T | T | T | T |
Comme on peut le voir, X → Y et (¬X ∨ Y) sont une tautologie. Donc (X → Y) ⇔ (¬X ∨ Y)
Formule d'équivalence :
Il existe différentes lois utilisées pour prouver la formule d’équivalence, qui est décrite comme suit :
Loi idempotente : S'il existe une formule d'instruction, elle contiendra les propriétés suivantes :
X ∨ X ⇔ X X ∧ X ⇔ X
Droit associatif : S'il existe trois formules d'instruction, elle contiendra les propriétés suivantes :
(X ∨ Y) ∨ Z ⇔ X ∨ (Y ∨ Z) (X ∧ Y) ∧ Z ⇔ X ∧ (Y ∧ Z)
Loi commutative: S'il existe deux formules d'instruction, elle contiendra les propriétés suivantes :
X ∨ Y ⇔ Y ∨ X X ∧ Y ⇔ Y ∧ X
Loi distributive : S'il existe trois formules d'instruction, elle contiendra les propriétés suivantes :
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X ∨ (Y ∧ Z) ⇔ (X ∨ Y) ∧ (X ∨ Z) X ∧ (Y ∨ Z) ⇔ (X ∧ Y) ∨ (X ∧ Z)
Droit de l'identité : S'il existe une formule d'instruction, elle contiendra les propriétés suivantes :
(a) (i) X ∨ F ⇔ X (ii) X ∨ T ⇔ T (b) (i) X ∧ T ⇔ X (ii) X ∧ F ⇔ F
Loi complémentaire : S'il existe une formule d'instruction, elle contiendra les propriétés suivantes :
(a) (i) X ∨ ¬X ⇔ T (ii) X ∧ ¬X ⇔ F (b) (i) ¬(¬X) ⇔ X (ii) ¬T ⇔ F , ¬F ⇔ T
Loi d'absorption : S'il existe deux formules d'instruction, elle contiendra les propriétés suivantes :
X ∨ (X ∧ Y) ⇔ X X ∧ (X ∨ Y) ⇔ X
De la loi de Morgan : S'il existe deux formules d'instruction, elle contiendra les propriétés suivantes :
¬(X ∨ Y) ⇔ ¬X ∧ ¬Y ¬(X ∧ Y) ⇔ ¬X ∨ ¬Y
Méthode 2 : processus de remplacement
Dans cette méthode, nous supposerons une formule A : X → (Y → Z). La formule Y → Z peut être appelée partie de formule. Si nous remplaçons cette partie de la formule, c'est-à-dire Y → Z, par l'aide de la formule d'équivalence ¬Y ∨ Z dans A, alors nous obtiendrons une autre formule, c'est-à-dire B : X → (¬Y ∨ Z). C'est un processus simple pour vérifier si les formules données A et B sont équivalentes ou non. Grâce au processus de remplacement, nous pouvons obtenir B à partir de A.
Exemple 1: Dans cet exemple, nous devons prouver que {X → (Y → Z) ⇔ X → (¬Y ∨ Z)} ⇔ (X ∧ Y) → Z.
Solution: Ici, nous allons prendre la partie latérale gauche et essayer d’obtenir la partie latérale droite.
X → (Y → Z) ⇔ X → (¬Y ∨ Z) [∵ Y → Z ⇔ ¬Y ∨ Z] ⇔ ¬X ∨ (¬Y ∨ Z) [∵ X → Y ⇔ ¬X ∨ Y]
Nous allons maintenant utiliser la loi associative comme ceci :
⇔ (¬X ∨ ¬Y) ∨ Z
Nous allons maintenant utiliser la loi de De Morgan comme ceci :
⇔ ¬(X ∧ Y) ∨ Z ⇔ (X ∧ Y) → Z [∵ X → Y ⇔ ¬X ∨ Y]
Ainsi prouvé
{X → (Y → Z) ⇔ X → (¬Y ∨ Z)} ⇔ (X ∧ Y) → Z
Exemple 2 : Dans cet exemple, nous devons prouver que {(X → Y) ∧ (Z → Y)} ⇔ (X ∨ Z) → Y.
Solution: Ici, nous allons prendre la partie latérale gauche et essayer d’obtenir la partie latérale droite.
(X→ Y) ∧ (Z → Y) ⇔ (¬X ∨ Y) ∧ (¬Z ∨ Y) ⇔ (¬X ∧ ¬Z) ∨ Y ⇔ ¬(X ∨ Z) ∨ Y ⇔ X ∨ Z → Y
Ainsi prouvé
{(X → Y) ∧ (Z → Y)} ⇔ (X ∨ Z) → Oui
Exemple 3 : Dans cet exemple, nous devons prouver que X → (Y → X) ⇔ ¬X → (X → Y).
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Solution: Ici, nous allons prendre la partie latérale gauche et essayer d’obtenir la partie latérale droite.
X → (Y → X) ⇔ ¬X ∨ (Y → X) ⇔ ¬X ∨ (¬Y ∨ X) ⇔ (¬X ∨ X) ∨ ¬Y ⇔ T ∨ ¬Y ⇔ T and ¬X → (X → Y) ⇔ ¬(¬X) ∨ (X → Y) ⇔ X ∨ (¬X ∨ Y) ⇔ (X ∨ ¬X) ∨ Y ⇔ T ∨ Y ⇔ T
Ainsi prouvé
X → (Y → X) ⇔ ¬X → (X → Y)
Exemple 4 : Dans cet exemple, nous devons prouver que (¬X ∧ (¬Y ∧ Z)) ∨ (Y ∧ Z) ∨ (X ∧ Z) ⇔ Z.
Solution: Ici, nous allons prendre la partie latérale gauche et essayer d’obtenir la partie latérale droite.
(¬X ∧ (¬Y ∧ Z)) ∨ (Y ∧ Z) ∨ (X ∧ Z)
Nous allons maintenant utiliser les lois associatives et distributives comme ceci :
⇔ ((¬X ∧ ¬Y) ∧ Z) ∨ ((Y ∨ X) ∧ Z)
Nous allons maintenant utiliser la loi de De Morgan comme ceci :
⇔ (¬(X ∨ Y) ∧ Z) ∨ ((Y ∨ X) ∧ Z)
Nous allons maintenant utiliser la loi distributive comme ceci :
⇔ (¬(X ∨ Y) ∨ (X ∨ Y)) ∧ Z ⇔ T ∧ Z [∵ ¬X ∨ X ⇔ T ⇔ R
Ainsi prouvé
(¬P ∧ (¬Q ∧ R)) ∨ (Q ∧ R) ∨ (P ∧ R) ⇔ R
Exemple 5 : Dans cet exemple, nous devons montrer que ((X ∨Y) ∧ ¬(¬X ∧ (¬Y ∨ ¬Z))) ∨ (¬X ∧ ¬Y) ∨ (¬X ∧ ¬Z) est une tautologie.
Solution: Ici, nous allons prendre de petites pièces et les résoudre.
Tout d’abord, nous utiliserons la loi de De Morgan et obtiendrons ce qui suit :
¬X ∧ ¬Y ⇔ ¬(X ∨ Y) ¬X ∨ ¬Z ⇔ ¬(X ∧ Z)
Donc,
(¬X ∧ ¬Y) ∨ (¬X ∧ ¬Z) ⇔ ¬(X ∨ Y) ∨ ¬(X ∧ Z) ⇔ ¬((X ∨ Y) ∧ (X ∨ Z))
Aussi
¬(¬X ∧ (¬Y ∨ ¬Z)) ⇔ ¬(¬X ∧ ¬(Y ∧ Z)) ⇔ X ∨ (Y ∧ Z) ⇔ (X ∨ Y) ∧ (X ∨ Z)
Ainsi
((X ∨ Y) ∧ ¬(¬X ∧ (¬Y ∨ ¬Z))) ⇔ (X ∨ Y) ∧ (X ∨ Y) ∧ (X ∨ Z) ⇔ (X ∨ Y) ∧ (X ∨ Z)
Ainsi
((X ∨ Y) ∧ ¬(¬X ∧ (¬Y ∨ ¬Z))) ∨ (¬X ∧ ¬Y) ∨ (¬X ∧ ¬Z) ⇔ [(X ∨ Y) ∧ (X ∨ Z)] ∨ ¬[(X ∨ Y) ∧ (X ∨ Z)] [∵ ¬X ∨ X ⇔ T] ⇔ T
On peut donc dire que la formule donnée est une tautologie.
Exemple 6 : Dans cet exemple, nous devons montrer que (X ∧ Y) → (X ∨ Y) est une tautologie.
Solution: (X ∧ Oui) → (X ∨ Oui)
⇔ ¬(X ∧ Y) ∨ (X ∨ Y) [∵ X → Y ⇔ ¬X ∨ Y]
Nous allons maintenant utiliser la loi de De Morgan comme ceci :
⇔ (¬X ∨ ¬Y) ∨ (X ∨ Y)
Nous allons maintenant utiliser la loi associative et la loi commutative comme ceci :
⇔ (¬X ∨ X) ∨ (¬Y ∨ Y)
Nous allons maintenant utiliser la loi de négation comme ceci :
⇔ (T ∨ T) ⇔ T
On peut donc dire que la formule donnée est une tautologie.
Exemple 7 : Dans cet exemple, nous devons écrire la négation de certaines affirmations, qui sont décrites comme suit :
- Marry terminera ses études ou acceptera la lettre d'adhésion de la société XYZ.
- Harry ira faire un tour ou courir demain.
- Si j'ai de bonnes notes, mon cousin sera jaloux.
Solution: Tout d’abord, nous allons résoudre la première instruction comme ceci :
1. Supposons que X : Marry termine ses études.
Y : Acceptez la lettre d’adhésion de la société XYZ.
Nous pouvons utiliser la forme symbolique suivante pour exprimer cette affirmation :
X ∨ Y
La négation de X ∨ Y est décrite comme suit :
¬(X ∨ Y) ¬(X ∨ Y) ⇔ ¬X ∧ ¬Y
En conclusion, la négation d’une déclaration donnée sera :
¬X ∧ ¬Y: Marry will not complete her education, and she will not accept the joining letter of XYZ Company.
2. Supposons X : Harry ira faire un tour
Y : Harry courra demain
Nous pouvons utiliser la forme symbolique suivante pour exprimer cette affirmation :
X ∨ Y
La négation de X ∨ Y est décrite comme suit :
¬(X ∨ Y) ¬(X ∨ Y) ⇔ ¬X ∧ ¬Y
En conclusion, la négation d’une déclaration donnée sera :
¬X ∧ ¬Y: Harry will not go for a ride, and he will not run tomorrow
3. Supposons X : si j’obtiens de bonnes notes.
Y : Mon cousin sera jaloux.
Nous pouvons utiliser la forme symbolique suivante pour exprimer cette affirmation :
X → Y
La négation de X → Y est décrite comme suit :
¬(X → Y) ¬(X → Y) ⇔ ¬(¬X ∨ Y) ⇔ X ∧ ¬Y.
En conclusion, la négation d’une déclaration donnée sera :
X ∧ ¬Y: I get good marks, and my cousin will not be jealous.
Exemple 8 : Dans cet exemple, nous devons écrire la négation de certaines affirmations à l'aide de la loi de De Morgan. Ces déclarations sont décrites comme suit :
- J'ai besoin d'un ensemble de diamants et vaut une bague en or.
- Vous obtenez un bon travail ou vous n'obtiendrez pas un bon partenaire.
- Je prends beaucoup de travail et je ne peux pas le gérer.
- Mon chien part en voyage ou il fait du désordre dans la maison.
Solution: La négation de toutes les affirmations à l'aide de la loi de De Morgan est décrite une par une comme ceci :
- Je n'ai pas besoin d'un ensemble de diamants et je ne vaux pas une bague en or.
- Vous ne pouvez pas obtenir un bon travail et vous obtiendrez un bon partenaire.
- Je ne demande pas beaucoup de travail ou je peux le gérer.
- Mon chien ne part pas en voyage et ne fait pas de dégâts dans la maison.
Exemple 9 : Dans cet exemple, nous avons des déclarations et nous devons écrire la négation de ces déclarations. Les déclarations sont décrites comme suit :
- S'il pleut, le projet d'aller à la plage est annulé.
- Si j’étudie dur, j’obtiendrai de bonnes notes à l’examen.
- Si je vais à une fête nocturne, mon père me punira.
- Si vous ne voulez pas me parler, vous devez bloquer mon numéro.
Solution: La négation de toutes les affirmations est décrite une à une comme ceci :
- Si le projet d'aller à la plage est annulé, alors il pleut.
- Si j’obtiens de bonnes notes à l’examen, j’étudie dur.
- Si mon père me punit, je vais à une fête nocturne.
- Si vous devez bloquer mon numéro, vous ne voulez pas me parler.
Exemple 10 : Dans cet exemple, nous devons vérifier si (X → Y) → Z et X → (Y → Z) sont logiquement équivalents ou non. Nous devons justifier notre réponse à l'aide de tables de vérité et à l'aide de règles de logique pour simplifier les deux expressions.
Solution: Tout d’abord, nous utiliserons la méthode 1 pour vérifier si (X → Y) → Z et X → (Y → Z) sont logiquement équivalents, ce qui est décrit comme suit :
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Méthode 1 : Ici, nous supposerons ce qui suit :
(X → Y) → Z ⇔ (¬X ∨ Y) → Z ⇔ ¬(¬X ∨ Y) ∨ Z ⇔ (X ∧ ¬Y) ∨ Z ⇔ (X ∧ Z) ∨ (¬Y ∧ Z)
Et
X → (Y → Z) ⇔ X → (¬Y ∨ Z) ⇔ ¬X ∨ (¬Y ∨ Z) ⇔ ¬X ∨ ¬Y ∨ Z X → Y) → Z and X → (Y → Z)
Méthode 2 : Nous allons maintenant utiliser la deuxième méthode. Dans cette méthode, nous utiliserons la table de vérité.
X | ET | AVEC | X → Oui | (X → Oui) → Z | Y → Z | X → (Y → Z) |
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T | T | T | T | T | T | T |
T | T | F | T | F | F | F |
T | F | T | F | T | T | T |
T | F | F | F | T | T | T |
F | T | T | T | T | T | T |
F | T | F | T | F | F | T |
F | F | T | T | T | T | T |
F | F | F | T | F | T | T |
Dans cette table de vérité, on peut voir que les colonnes de (X → Y) → Z et X → (Y → Z) ne contiennent pas de valeurs identiques.